MAD HOUSE
Dans une chambre noire avec une lumière jaune sur son visage, il dit : « Conflit de foi en problèmes ! Peut-être suis-je un criminel psychopathe issu de la criminologie et de la pénologie… Problème d’observer une répétition faite… d’illusion de scène de crime, ‘scène de crime’ ! ». Et après une minute, il parle : « Le sujet des droits et libertés à travers le réel et la théorie… oui ! Et le paradoxe de la torture. Quoi, un homme normal dans des situations sociales et économiques difficiles, dans l’obscurité, devient vivre dans une situation de schizophrénie ! C’est incroyable. Quand il parle de ses droits, on lui répond par la politique pénale et la victimisation ! Parce qu’il est suspect et accusé de crime ! ». Et il commence à pleurer : « Nous sommes dans un état de droit et de loi, et l’on doit renseigner les raisons de l’arrestation, appeler un avocat en garde à vue et respecter toutes les garanties de justice… Non, non, ce n’est rien, je pense à une recherche judiciaire ! Pas de prison, pas de mesure protectrice. » Et de l’autre côté, il dit : « Je vis dans un monde de contrôle où les effets personnels et les hallucinations endommagent ma tête et mon cerveau. Je cherche la source mais ne trouve rien. »
D’état nature
Il se dit : « Avant le contrat social, il y avait un état de nature et la loi de la forêt, sans droits. La loi est venue pour organiser les comportements entre les individus par des principes juridiques et le pouvoir politique. Montesquieu et Thomas Hobbes ont fait attention à conserver les intérêts des personnes dans les sociétés et le principe essentiel que l’homme est un loup pour l’homme. »
La philosophie
Il se dit : « On ne parle pas ici de philosophie, de décisions, d’associations et de ne pas contrevenir, mais de négocier, de dialoguer et de paix, sans pouvoir paternel absolu ni ignorance, et de se sentir volontaire dans la société, loin de toute réflexion radicale. »
Criant : « Qui êtes-vous, monsieur ? S’il vous plaît, dites-moi qui vous êtes ! »
Et il continue : « Et de la citoyenneté, où les pouvoirs qui organisent la participation citoyenne aux décisions et à la rédaction législative se font par demande législative, par les partis politiques, les associations et les fondations, et par la contribution à la rédaction de projets et de suggestions de lois par la société civile, au parlement et au gouvernement. »
Société
Il se calme, boit une gorgée d’eau et discute : « Le conventionnalisme dans une société négative concernant l’idéologie amène à la négligence, et la gravité touche ses droits. Beaucoup de personnes vivent dans la rue à cause de l’estimation et de la façon dont la société les voit, selon leur niveau intellectuel ou leur religion. Elles ont besoin d’un soutien social de la part de ceux qui sont nerveux et de ceux qui font preuve de solidarité avec les pauvres. Quelles étaient les raisons des problèmes sociaux de ces personnes ? »